Abstract
The University of Zambia operates an integrated system of distance education in which regular teaching staff teach both internal and distance students. Although lecturers are contractually obliged to teach distance students they are mainly recruited to teach internal students. It is important, therefore, to determine their acceptance of correspondence teaching, especially in a situation of staff shortages which result in high lecturer/student ratio.
This article summarizes results of a study in which a closed form questionnaire was used to elicit lecturers' opinions on various aspects of distance education at the University of Zambia. Some of the main findings are that lecturers did not have enough time to carry out their correspondence teaching responsibilities and that distance teaching was an extra burden which was not sufficiently rewarding. However, distance teaching per se was not resented, and a small but significant proportion of the respondents found it enjoyable. Also the majority thought it was fair for them to teach both internal and external students.
It is proposed in the article that in order to develop more positive attitudes towards distance teaching, lecturers need some incentives and training especially in correspondence course writing.
Résumé
L'Université de la Zambie offre un système intégré d'éducation à distance dans lequel les mêmes instructeurs enseignent aux étudiants sur place et aux étudiants à distance. Bien que les enseignants soient requis par contrat d'enseigner à distance, ils sont surtout recrutés pour l'instruction sur place. Il est donc important de déterminer s'ils acceptent vraiment le principe de l'instruction par correspondance, particulièrement lorsque le manque de personnel entraîne à un rapport étudiant-enseignant élevé.
Cet article résume les résultats d'une enquête basée sur un questionnaire dont on s'est servi pour éliciter les opinions des enseignants sur les aspects variés de l'instruction à distance à l'Université de la Zambie. Il ressort de cette enquête que les instructeurs ne disposaient pas du temps nécessaire pour faire face à leur enseignement par correspondance et que cette tâche représentait un fardeau supplémentaire qui était mal récompensé. Néanmoins, cette forme d'instruction en elle-même ne les irritait pas et un petit nombre y prenaient même plaisir. De plus, la plupart d'entre eux trouvaient raisonnable d'avoir à enseigner aux deux groupes d'étudiants.
L'article suggère que pour encourager les enseignants à développer une attitude plus positive envers l'éducation à distance, il faudrait qu'ils reçoivent à la fois une récompense pour enseigner par correspondance et une formation spéciale pour écrire ces cours.