Abstract
It is increasingly common to hear technology spoken of in distance education as a tool for increasing productivity (chiefly by cutting costs or generating revenues). Yet the experience of the private sector has been that in many industries performance enhancement with technology is more common than any increase in productivity or profitability and that many industries do not achieve profitability increases at all with technology (the productivity paradox). The position taken here is that distance education should learn lessons from the private sector regarding the cost, potential impacts on performance, implications for organizational stability, and innovation characteristics of technology in order to avoid a productivity paradox of our own.
Il est de plus en plus courant, en éducation à distance, d’entendre parler de la technologie comme d’un outil d’accroissement de la productivité (principalement parce qu’elle réduit les coûts ou entraîne des revenus). Cependant, le secteur privé a pu constater que, dans de nombreux secteurs d’activité, on voit plus fréquemment une optimisation de la performance qu’un accroissement de la productivité ou de la rentabilité, et que de nombreux secteurs d’activité n’obtiennent aucun accroissement de la rentabilité grâce à la technologie (le paradoxe de la productivité). Nous sommes d’avis que l’éducation à distance devrait profiter de ces leçons du secteur privé en ce qui a trait aux coûts, aux incidences possibles sur la performance, aux répercussions sur la stabilité organisationnelle et aux caractéristiques d’innovation de la technologie, afin d’éviter le paradoxe de la productivité sur notre propre terrain.